Mont Thou, Pierre Percée , dimanche 24 mars

Après une randonnée urbaine sur les hauteurs de Lyon et la découverte des sentiers de la Dombes, c’est le massif des Monts d’or qui accueille les joëlettes.

Le groupe composé de beaucoup de jeunes et novices de l’association, dont Nils 6ans, s’est retrouvé à Curis , au pied des Monts d’Or ce dimanche matin.
La météo s’annonçait chaude et ensoleillée d’après Félix, mais elle fut, au début en tout cas, froide et pluvieuse.

La faute à Mégane qui a provoqué les cieux en remarquant les toutes premières gouttes. Gouttes qui se sont transformées en petit grêlons. Les chemins qui mènent au Mont Thou ce sont rapidement transformés en petits ruisseaux boueux. Claudette mettra du temps à se réchauffer après cet épisode.

Heureusement pour nous la pluie s’est rapidement faite oubliée et a laissé place à quelques éclaircies. La fin de l’ascension est moins raide et nous commençons à apercevoir la vue sur la vallée de la Saône.

L’équipe jeune et dynamique nous a rapidement conduit à vive allure au sommet du Mont Thou où nous avons pu pique-niquer avec quelques rayons de soleil bienvenus.
Comme le veut la tradition, les gâteaux et sucreries en tout genre on circulés à la fin du repas, de quoi nous redonner plein de forces pour la suite.

Un dernier petit câlin entre Kévin et Bridget et c’est reparti

Passage à la table d’orientation, histoire de situer les sommets que nous n’apercevrons pas aujourd’hui, dont le Mont Blanc, bien cachés par les nuages. Nous pouvons au moins sans difficultés apercevoir la basilique de Fourvière et les tours de la Part Dieu.

La descente s’est faite en douceur par des chemins sinueux et techniques à travers le bois qui surplombe Poleymieux au Mont d’Or. Les pilotes arrière s’en sortent remarquablement bien, sans glissade.

Compte tenu du niveau technique de l’équipe, notre guide a pris la décision de rallonger la balade en passant par le « pas de la Roche Percée », un mur très raide avec beaucoup de pierres comme il les aime. Les pilotes arrière ne tardent pas à comprendre qu’il faut relever entièrement le brancard.

La fin de la journée fut beaucoup plus simple et nous avons pu visiter au passage quelques cabornes le long des chemins.

Félicitations à tous et à toutes pour cette belle journée, avec une mention particulière pour les jeunes qui ont rapidement compris le pilotage de la joëlette et à Nils qui a marché toute la journée comme un randonneur chevronné.