Médille, Mont Mézenc

27 février Antenne de la Loire

Nous sommes arrivés à la ferme de Médille en fin de matinée, un groupe de 14 personnes dont 2 passagers joëlette, bien décidés à profiter à plein de ce W-E qui s’annonçait très ensoleillé. On accueille trois migrants : Christian l’auvergnat et Pauline et Yannick arrivés de l’est.

Accueil par Christine, notre hôtesse, personnalité intéressante et atypique.

Installation dans les dortoirs, avant de partager les piques-nique tirés du sac, à l’intérieur de l’auberge, bien au chaud. A notre arrivée un vent froid nous avait saisis.

Puis c’est le départ pour une rando de 3 heures, le vent est tombé, c’est super !

Alternances de passages dans la neige et le verglas, il faut être vigilant.

Arrivée dans une carrière de lauzes, paysage lunaire.

Au retour les passagers des joëlettes ont connu des sensations fortes, la neige n’excite pas que les enfants !!

On revient en fin d’après-midi pour partager un apéritif maison, à base de châtaigne ( y’en a qui y revienne !) puis un repas gargantuesque cuisiné à partir des produits de la ferme.

Christine et sa fille partagent notre repas, ainsi qu’un couple de passage, qui nous questionnent beaucoup sur notre association et puis aussi Serge et Laurence qui nous ont rejoints pour la soirée.

Ambiance chaleureuse.

Veillée au coin du feu.

Le dimanche, après un déjeuner copieux, départ pour le Mt Mézenc ( 1753m). Neige et verglas, on monte le mono-ski, mais on se passe des raquettes. En revanche des crampons auraient été bien appréciés !!

Le temps radieux nous a accompagnés durant ce W-E.

Au sommet du Mézenc, pour la pause déjeuner, un panorama à 360° nous découvre toute la chaîne des Alpes. Un régal pour les yeux.

Retour au gite vers 17h, après environ 5h de marche, pas toujours facile.

Une seule joëlette a été utilisée, partagée entre Muriel et Fred.

On se quitte fatigués et heureux.

Un grand merci à Christine pour son accueil, sa gentillesse, son humour, sa simplicité, qui a su faire de cet endroit un lieu magique où il fait bon vivre.