Tout le monde est là (sauf Ségolène qui n’a pas eu le temps d’atterrir de Tanzanie !) et certains viennent de très loin (bravo Annie). Bref la motivation est bien au rendez-vous.
La première partie du week-end est studieuse. Un café pour se mettre en train et un tour de table ou chacun se présente. Certains se sont déjà croisés sur des séjours, il y a un petit groupe qui vient de Montpellier, mais personne ne connait tout le monde.
On profite aussi de la présence de Paulo (qu’on ne reverra pas avant Katmandou) pour lui poser toutes nos questions sur le Népal et sur le Langtang.

Ensuite on étale les cartes, et Paulo et Stéphane nous font un récit à deux voix de l’itinéraire prévu, jour par jour. Stéphane consulte ses notes du repérage et Paulo commente de mémoire.

La matinée est vite passée. C’est l’heure du casse-croûte, la table croule sous les spécialités locales (ou pas), pas de risque de mourir de faim, même pour ceux qui ont oublié leur pique-nique.

La discussion se poursuit tout l’après midi, pas de regrets à avoir, il fait gris et il pleut même un peu, et il y a tant de sujets à discuter : du plus concret (argent, passeports, billet d’avion, recherche de financement, altitude, mal des montagnes…) au plus métaphysique (bouddhisme, hindouisme et le Népal dans tout ça ?)

Enfin après une après-midi bien remplie, c’est l’heure de l’apéro. Avec une innovation Handi Cap Evasion : le mal des montagnes étant, comme chacun sait, lié à un manque de pression, Nicolas a amené le dernier modèle de « caisson hyper-bar », garni d’un imposant assortiment de bières !

Dimanche matin : il fait grand beau ! Après toutes ces discussions il est temps de s’oxygéner un peu en faisant un tour de joëlette.

C’est le baptême de joëlette (devrais-je dire bizutage) pour Paulo, qui se retrouve sanglé sur une joëlette, histoire de voire les sensations que peut éprouver le passager.

Ensuite, sans transition, c’est à lui de tirer la joëlette de Martine !

Après une traversée au milieu de vignes (eh oui c’est le terroir du vin de Savoie) une petite grimpette « drè dans l’pentu » permet de tester l’adhérence des chaussures dans le sentier boueux !

Mais bon c’était juste pour se dégourdir les jambes car il y a de la route à faire, un train ou un avion à prendre, donc retour « à la maison » pour partager le pique-nique avant de se séparer.

L’objectif du week-end est atteint : les premiers jalons sont posés ; les dates du trek fixées, l’itinéraire arrêté et le groupe a pu faire connaissance. Le rêve commence à se concrétiser.

Merci aux parent de Jacky, qui nous ont abandonné leur maison le temps d’un week-end.

Prochain rendez-vous pour l’équipe : le 27-28 novembre lors de l’assemblée générale HCE.