Beaufortain 2007

25 janvier Reportages

Où l’on découvre pourquoi le Beaufortain est réputé... pour le ski !

Camp de base installé au Plan de la Laie sous un magnifique soleil. Le petit torrent juste à côté dont l’eau court sur les ardoises chauffées par le soleil est un bonheur pour la toilette.

Départ le 1er jour pour une belle balade d’initiation…

Où nos passagers choisissent aussi de se dégourdir les jambes. Ici Françoise gravit la montée finale, la plus raide, la plus dure, jusqu’à la grande berge, petit sommet et lieu de pique-nique. Bravo !

Patrick lui savoure sa récompense après l’effort.

Mais dès le lendemain le temps se gâte. La pluie est sur nous et ne nous lâchera plus.

Vu le temps, Franck, l’accompagnateur moyenne montagne du séjour, décide d’installer le bivouac à côté d’un petit abri ou l’on va pouvoir, en se serrant, manger au sec ou presque.

Réveil toujours pluvieux… Il faut vraiment sortir ?

La rando prévue au départ n’est plus déjà qu’un souvenir sur du papier mouillé. Franck nous propose une balade vers le lac d’amour. Mais arrivé plus haut la pluie redouble, le brouillard se lève, le terrain est détrempé, boueux et très glissant. Nous rebroussons chemin pour trouver refuge dans une ancienne étable pour manger. Même Karak voudrait bien se mettre à l’abri ! Retour au camp.

La météo annonçait un refroidissement, voilà le résultat le lendemain matin. Neige à 50m au-dessus du camp. La crête des gites, rando de la journée prévue pour nous amener au refuge de la croix du Bonhomme est sous 40cm de neige !… Impraticable !

Les conditions de neige, de froid, les affaires mouillées, le manque de commodités contraignent Franck à envisager une solution de repli pour le groupe : Démontage et remontage du camp au camping de Beaufort.
La salle hors sac nous accueille tous au sec pour savourer les repas mitonnés de René.

Le lendemain, nouvelle balade dans des conditions grandioses.

Le groupe dans la neige.

Enfin pour le dernier jour, le soleil revient pour nous permettre d’admirer le grand blanc au-dessus du Lac de Roselend.

La Pierra-Menta de l’autre côté.

Dernière montée et dernière crête.

Dernière sieste.

Et dernière pause sur le sentier du retour.